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Singue Mura

Crédit photo :Catherine Millet

1994 | Grand Théâtre de Québec (Salle Octave-Crémazie)

En français et en langues africaines



Prix régulier /

Werewere Liking & Groupe KI-YI (Côte d'Ivoire)

Du théâtre et beaucoup plus ! Dans une explosion de couleurs, de musique et de mouvements,  le Ki-Yi M’Bock incarne ce que le jeune théâtre africain a de plus stimulant : le mariage de thématiques contemporaines,  d’une théâtralité en pleine évolution et d’un sens de la fête millénaire.

Singue Mura conte la quête de liberté d’une femme africaine et nous fait découvrir une créatrice flamboyante, Werewere Liking, qui depuis près de dix ans rassemble autour d’elle des artistes africains de toutes nationalités et les dirige au sein de l’ensemble permanent de création qu’est le Ki-Yi-M’Bock.

En savoir plus sur le spectacle

Crédits

Texte Werewere Liking, Bomou Mamadou et Binda Ngazolo
Mise en scène Werewere Liking
Assistance à la mise en scène Mamadou Bomou
Direction d’orchestre Boni Gnahoré
Composition Bomou Mamadou, Werewere Liking, Blébo Kouagni

Distribution Serry Dapea, Ngo Biyong Bi Kubang, Nga Manga Mondouga, Zadi Toh, N’Sérel N’Jock, Mamadou Bomou, Douho Gneon, Gogoua Djolei, Pehoula Zerehoue, Honokami Tape, Odile Nyamba Bacom, Lohoure Gnagra, Gohourou Gnepo, Ako Beche, Boni Gnaore, Abou Bassa

Percussions Zadi Toh, Kodjovi Sevi, Tape, Boni Gnaore
Clavier Abou Bassa
Régie lumière Sam Bapes
Régie plateau Lem Liking
Management – communication Marthe Likound
Management – régie générale Claire Laroche de Féline

Production Théâtre Ki-Yi M’Bock

Ce que la presse en dit...

« Sa vie est loin d’être un long fleuve tranquille! Mère à 12 ans, grand-mère à 32 ans, elle a passé les premières années de sa vie à fuir, tant qu’elle le pouvait, les contraintes. Créatrice tous azimuts, elle est peintre, musicienne, écrivain, scénariste. Cette Camerounaise battante a installé à Abidjan un collectif : la Villa Ki-Yi, qui abrite un théâtre, une galerie d’exposition, quatre scènes en plein air… Soixante-quinze personnes y vivent sous des manguiers centenaires. »

Le Nouvel Observateur

Paris


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