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La Grande Audition 2025

dim 25 mai 16h
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Festival Carrefour
© Philip Larouche

Bienvenue aux auditions finales des finissant.e.s en Jeu du Conservatoire d’art dramatique de Québec!

Supervisé.e.s par Nancy Bernier, ils et elles vous présenteront leurs dernières scènes avant de quitter l’école. Vous aurez également la chance de visionner leurs démos de jeu, dirigés par Eliot Laprise.

Ils et elles ont été admis.e.s au CADQ à la suite d’une audition qui a changé leur vie. Celle à laquelle vous assisterez aujourd’hui pourrait peut-être avoir le même impact sur leur carrière!

Et pour joindre l’utile à l’agréable, les finissant.e.s en Scénographie du Conservatoire exposeront les fruits de leurs trois années d’études : esquisses de costumes, maquettes de décor, accessoires, plans de coupe, etc. De plus, les finissantes en Mise en scène et création présenteront des extraits de leur projet final respectif.

Jeu

© Guillaume Boucher
Crédit maquillage : Vincent Dubuc

MAÏTÉ BEAUSOLEIL

N’étant pas originaire de Québec, Maïté en a arpenté ses rues comme elle a abordé la création : avec passion, plaisir et ardeur. C’est dès un âge peu avancé qu’elle s’initie au violon et qu’elle continue d’en jouer pendant huit ans, notamment au sein d’un programme avancé de musique et de l’Orchestre symphonique des jeunes de la Montérégie. Néanmoins, c’est tout naturellement le théâtre qui l’intéresse déjà, et c’est donc au Cégep de Saint-Laurent qu’elle complétera un programme préuniversitaire, profil Théâtre. Elle poursuit ensuite sa route sur la 40, direction CADQ. Là-bas, elle y renforce une envie d’écrire et de jeter allègrement tous ses mots sur papier, qu’ils soient poétiques, absurdes ou dramatiques. Elle y découvre aussi le monde du clown et de l’improvisation théâtrale (terreau fertile pour l’imagination débordante que contient sa petite tête). C’est dans un stage de combat à Londres, à la fin de sa deuxième année d’études, qu’elle approfondira un plaisir de la théâtralité davantage physique.

FRANÇOIS DUBREUIL-MORIN

Après plusieurs années à essayer de se trouver « une vraie job », François a finalement décidé d’écouter son cœur et de se lancer à pieds joints dans ce qui le passionne. Originaire du Bas-Saint-Laurent, il développe son intérêt pour les arts vers la fin du secondaire. Tout d’abord mordu de cinéma, il s’intéresse davantage au métier de comédien à travers l’improvisation. François est un grand farceur et un rieur né. Il n’a jamais arrêté de jouer, et ce, même une fois l’enfance terminée. Le programme de Jeu du Conservatoire était donc une destination bien choisie! Il est excité de voir ce que l’avenir lui réserve, mais il ressent tout de même un petit pincement au cœur à l’idée de quitter les murs de l’école. C’est entre ces mêmes murs qu’il a su se trouver. Sans ça, il serait peut-être coincé dans une « vraie job » où il ne se sentirait pas chez lui.

© Guillaume Boucher
Crédit maquillage : Vincent Dubuc
© Guillaume Boucher
Crédit maquillage : Vincent Dubuc

ÉLIE GIASSON-FRAGASSO

Originaire de Québec, Élie a baigné dans le théâtre depuis sa petite enfance. Au fil des années, il a développé une passion incontestable pour les arts de la scène; du théâtre à l’improvisation en passant par l’animation de gala, faire son entrée au Conservatoire d’art dramatique de Québec était l’aboutissement rêvé. Et maintenant que ce rêve est sur le point de se conclure, il s’en trouve décuplé. Bien que les nombreux volets du métier l’intéressent, Élie aspire principalement à une carrière d’interprète, le jeu lui apportant un épanouissement, un sentiment de liberté et une grande joie. Que ce soit devant une lentille de caméra ou sur les planches d’un théâtre, découvrir, comprendre et personnifier à sa manière des rôles de toutes sortes est une satisfaction sans nom pour lui. Et comme ce métier n’existerait pas sans le travail d’équipe, cela tombe bien : c’est un des aspects de cette profession qu’il adore.

ÉMILE LAJEUNESSE-TREMPE

C’est d’abord par l’improvisation qu’Émile a abordé l’art théâtral. Dès son plus jeune âge, sa passion pour la scène l’a amené à pratiquer ce sport d’égo de manière ininterrompue jusqu’à l’université. C’est après avoir acquis un baccalauréat en histoire que l’idée germe en lui d’utiliser cet amour du jeu et d’en faire une véritable carrière. Trois ans plus tard, le voici maintenant finissant au Conservatoire d’art dramatique de Québec. Ne reniant pas ses vieux amours académiques, le Conservatoire aura été pour lui une occasion d’approfondir son univers tout particulier par l’écriture et par l’interprétation, ainsi que d’allier ses deux passions qui lui semblaient auparavant irréconciliables. Émile sera heureux de jouer n’importe quel rôle. Tant qu’il s’agit d’une personne de pouvoir, dans la France du XVIIIe siècle, un brin controversée, guillotinée de préférence, il sera heureux. Et sinon, on lui souhaite d’incarner Cole Caufield le plus tôt possible dans sa carrière!

© Guillaume Boucher
Crédit maquillage : Vincent Dubuc
© Guillaume Boucher
Crédit maquillage : Vincent Dubuc

LIZA LAROCHE

Depuis sa rencontre avec le théâtre à l’âge de dix ans, Liza n’a jamais cessé de s’en passionner. Elle complète ses études secondaires et collégiales dans ce chemin qui aboutira, on s’en doute bien, au CADQ. En plus de son amour infaillible pour l’interprétation, elle cultive un grand intérêt pour la voix, la mise en scène ainsi que l’écriture, autant poétique que dramatique. Ce qui la captive le plus est l’ambivalence de l’être humain et de ses relations. Sérieuse et organisée à ses heures (avec son mandat de présidente de l’association étudiante du Conservatoire), elle possède tout de même une saine folie créatrice qu’elle laisse fleurir de jour en jour. En mai 2024, elle se certifie en combat scénique à mains nues auprès de la British Academy of Screen and Stage Combat de Londres avec sa cohorte. Elle est aussi l’heureuse récipiendaire d’une bourse d’études de la fondation au soutien des arts de Laval.

LAURIANNE MÉNARD

Remplie d’une grande joie de graduer du Conservatoire, Laurianne est impatiente de faire sa place dans le milieu artistique professionnel. À l’âge de 5 ans, elle débute les cours de théâtre, et son amour pour le jeu ne la quittera pas. Au Conservatoire, elle se découvre un grand intérêt pour l’art clownesque, l’écriture et la chanson. Elle désire intégrer ces différentes formes d’arts à sa pratique artistique. Plus jeune, Laurianne apprivoise déjà le jeu à la caméra. En 2023, sa performance solo dans le court-métrage « Comment faire taire une foule en colère » est saluée à l’international. Elle se retrouve finaliste dans la catégorie « meilleure actrice » au Golden Short Film Festival d’Italie et au Ciné Paris Film Festival, à Paris. Laurianne est convaincue que le théâtre est un art sans limites, où les extrêmes sont embrassés, où se questionner est salutaire. Laurianne brille par son désir d’incarner et de raconter, pour faire rire, pour faire pleurer, pour faire aimer, pour faire du bien. Parce que pour elle, c’est au théâtre qu’on se sent bien.

© Guillaume Boucher
Crédit maquillage : Vincent Dubuc
© Guillaume Boucher
Crédit maquillage : Vincent Dubuc

MARIE LINE MWABI-BOUTHILLETTE

Finissante en Jeu au Conservatoire d’art dramatique de Québec, c’est durant ses études en travail social que Marie Line découvre le théâtre au sein de la troupe collégiale L’Organe théâtral. Interprète, mais aussi créatrice, elle est récipiendaire de la Bourse de prestige 2024 de la Fondation du Conservatoire, qui lui permet de travailler autour de son premier texte Avoir un blanc. Son texte a été présenté au Festival Mots de la Rive en 2024, et sera présenté en lecture publique à la Charpente des Fauves en 2025. Elle croit fermement que le théâtre est un précieux outil de réflexion et de transformation sociale. À l’écran comme sur scène, elle rayonne par sa sensibilité et son intensité. Elle participe à deux éditions des Indiscrétions publiques en tant que comédienne avec le Théâtre du Ricochet. On a aussi pu la voir dans la série La Confrérie et, prochainement, elle fera ses premiers pas au cinéma dans Vil et Misérable de Jean-François Leblanc.

ANNE PAINCHAUD

Finissante du Conservatoire d’art dramatique de Québec, Anne Painchaud est une artiste passionnée aux ambitions multidisciplinaires. Malgré les inquiétudes du métier, malgré ses nombreux refus dans les écoles de théâtre, malgré une pandémie qui a bouleversé les arts vivants, elle a toujours choisi de plonger dans ce monde vertigineux. Pour Anne, la scène théâtrale est un endroit de tous les possibles. C’est là qu’on questionne, qu’on décortique, qu’on cherche, qu’on échange, qu’on va à la rencontre de l’autre, qu’on crie haut et fort, qu’on déteste, qu’on aime. En 2024, elle remporte une bourse d’interprétation : la Bourse d’études de la Fondation Hnatyshyn. Elle partage également un amour ardent avec la musique. Son projet musical est venu au monde en juillet 2022, grâce à la sortie d’un premier EP. En mai 2025, Anne terminera sa formation au Conservatoire, pour ensuite s’envoler vers un monde plein de défis, de rencontres et de joie.

© Guillaume Boucher
Crédit maquillage : Vincent Dubuc
© Guillaume Boucher
Crédit maquillage : Vincent Dubuc

ARNO ROY

« Il sera comédien cet enfant », « Il aime faire le clown depuis toujours », « C’est un enfant surdoué qui, à 3 ans déjà, rivalise avec les plus grands comédiens du monde » : deux de ces citations sont vraies et ont réellement été dites au sujet d’Arno dans son enfance.

On peut imaginer que depuis sa plus tendre enfance, Arno a le goût du jeu. Mais c’est seulement à partir de ses études au Cégep Saint-Laurent que sa passion devient une envie de carrière. Après une petite pause pour faire le tour de l’Europe et une pandémie mondiale, Arno entre au Conservatoire d’art dramatique de Québec en août 2022. Après un parcours parsemé d’amour d’humour et d’humeur, Arno terminera officiellement son Conservatoire en Mai 2025.

 «C’était le meilleur dans le ByeBye », « Il était tellement bon dans le dernier film de Denis Villeneuve », « Je t’aime mon fils » : l’une de ces citations sera peut-être dite à son sujet dans les années à venir…? À suivre.

SALOMÉ TREMBLAY

Haute comme trois pommes, bébé Salomé démontre déjà un intérêt tout particulier pour les arts de la scène. Danse, musique, chant… C’est au secondaire que le monde du théâtre s’ouvre à elle. Son parcours collégial est haut en couleur. Il débute en musique, en chant jazz pour se conclure en sciences humaines, profil intervention sociale. Alors qu’elle s’apprête à entrer au BAC en psychologie, l’idée de tenter sa chance aux auditions du Conservatoire d’art dramatique de Québec germe en elle, à la toute dernière minute. C’est avec surprise et bonheur que, quelques mois plus tard, elle change de trajectoire et se dévoue complètement à cet univers. Pendant son parcours au Conservatoire, elle se découvre un amour pour la voix et le mouvement. En 2024, elle suit un stage de combat scénique à Londres. Elle prévoit approfondir ses connaissances sur la voix en suivant la formation Estill. Multi-instrumentiste aimant bouger, elle aborde le théâtre avec sensibilité et soif de comprendre l’humain.

© Guillaume Boucher
Crédit maquillage : Vincent Dubuc

Scénographie

© Guillaume Boucher
Crédit maquillage : Vincent Dubuc

AUDREY GERMAIN

Finissante en Scénographie, et débutante dans la vie, je mords dans le travail et les défis. Je trouve ça délicieux, surtout quand les goûts de fantaisie et d’élégance s’entremêlent en bouche. Néanmoins, j’avoue que parfois, il n’est pas si mauvais d’avoir cet arrière-gout effervescent de textures éclatées, chaotiques et extravagantes qui apparaissent. La polyvalence est mon légume préféré. La curiosité est mon fruit favori. Mon plat de prédilection se doit alors d’être… le gâteau McCain, parce que… ben c’t’évident hey. Je me trouve extrêmement chanceuse d’avoir un entourage et une cohorte qui m’assistent et m’encouragent à travers l’organisation des recettes et la préparation de leurs aliments pour qu’on puisse bénéficier d’un magnifique repas tous ensemble. J’espère de tout cœur continuer à apprendre et expérimenter des nouvelles créations, parfois sucrées, parfois salées, parfois épicées. Je vous préviens, je ne veux jamais m’arrêter… sauf quand c’est l’heure du gâteau !

(Pour ceux qui ont besoin d’une mise en contexte, je ne suis pas la plus aisée dans une cuisine, et oui, je peux arriver à faire brûler du riz. Héhé!).

HUGO MORISSETTE-PARIS

L’imagination de Hugo est un univers en constante expansion. Parfois, des créatures fantastiques s’en échappent et vont se coller sur une toile, un papier ou prennent la forme d’une sculpture. D’autres fois, il nous fait voyager dans un monde aux couleurs vives. Le métier de scénographe débute pour lui comme un loisir, alors qu’il conçoit des costumes, des scénarios et des environnements pour des jeux de rôles. Il aime créer et s’amuser en travaillant, alors il se sent à sa place dans un domaine artistique.

Hugo est natif de Saint-Nicolas. Son parcours le mène à suivre des formations en synthèse d’images et en arts visuels. Il est maintenant finissant en Scénographie au Conservatoire d’art dramatique de Québec. En 2023, il a la chance de participer à la Quadriennale de Prague avec ses compatriotes au sein de l’équipe canadienne. Il est lauréat de la bourse Paul Bussières en 2024.

© Guillaume Boucher
Crédit maquillage : Vincent Dubuc
© Guillaume Boucher
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MARIE-PIER LÉVESQUE LIZOTTE

Originaire du Bas-Saint-Laurent, Marie-Pier Lévesque Lizotte est passionnée par l’art. Après des études en arts visuels et en cinéma au cégep, elle se tourne ensuite vers le théâtre. Elle est maintenant en dernière année d’études en Scénographie, où elle allie créativité et techniques de conception, développant une sensibilité particulière pour l’interaction entre les décors et la lumière. Curieuse et déterminée, elle est avide de nouveaux défis et de créer des univers visuels uniques. À la fin de ses études, elle souhaite poursuivre sa carrière en scénographie en apportant des idées novatrices au monde du spectacle vivant.

YOURI WHITE

Moi, c’est Youri. Passionné d’art sous toutes ses formes, je m’épanouis à travers le théâtre, la mode, la musique, la photographie et les arts visuels. Après avoir complété une technique en graphisme au Collège Bart, j’ai été irrésistiblement attiré par les arts vivants, fasciné par la diversité de langages. L’expression artistique est au cœur de ma vie. Elle est essentielle et m’inspire au quotidien. L’une des expériences les plus marquantes de mon parcours a été ma participation à la Quadriennale de Prague. Cette aventure m’a permis d’exposer mes travaux, de dialoguer avec des écoles supérieures d’art et de tisser des liens enrichissants. Ce mélange entre arts visuels et arts scéniques a nourri mon désir d’approfondir et d’explorer davantage ces deux univers complémentaires.

© Guillaume Boucher
Crédit maquillage : Vincent Dubuc

Mise en scène et création

© Guillaume Boucher
Crédit maquillage : Vincent Dubuc

GABRIEL.LE LEPAGE

Finissante en Mise en scène et création du Conservatoire d’art dramatique de Québec, Gabriel.le Lepage (elle/iel.le) est avant tout une créatrice. Artiste trans multidisciplinaire, elle se développe autant à travers la mise en scène que l’écriture et le jeu. Après ses études en photographie, elle participe à de nombreuses formations professionnelles en productions cinématographiques, en écriture dramatique, et en jeu théâtral et caméra. Durant ce parcours académique, elle perfectionne sa maîtrise de la mise en scène et précise sa vision artistique. Elle développe ses acquis dans la direction d’acteur.trice.s et la création théâtrale. Grâce à sa formation et ses expériences professionnelles, Gabriel.le a eu l’opportunité de travailler auprès de grandes créatrices comme Nancy Bernier, Sophie Cadieux et Stephie Mazunya. Elle fonde sa compagnie théâtrale Porte débarrée et ce faisant, elle souhaite apporter une vision collective, inclusive et sociale, afin d’élargir les horizons et de faire réfléchir.

MARIE NOWAK

Marie détient une maîtrise en études théâtrales ainsi qu’en médiation culturelle de l’Université Sorbonne Nouvelle – Paris 3 où elle a travaillé notamment en production et sur des projets participatifs en milieu rural. Elle a évolué près de dix ans en Gaspésie en gestion d’événements, communications et relations publiques. « La vie est mouvement », voilà ce que Marie se disait avant de reprendre des études en Mise en scène et création au CADQ! L’été dernier, elle a effectué un stage d’observation au Théâtre À tour de rôle de Carleton-sur-Mer en plus d’avoir assuré l’assistance à la mise en scène d’un spectacle de danse jeune public avec Les Nouveaux Ballets en France. Vous pourrez découvrir son univers les 16 et 17 mars 2025 au Studio du Conservatoire où elle a écrit et met en scène une comédie politique intitulée Je ne suis pas Olympe de Gouges.

© Guillaume Boucher
Crédit maquillage : Vincent Dubuc